Critiques de Septembre sans attendre

Sergent_Pepper
8

Séparer les vivants

On voit les films de Jonás Trueba comme on prendrait des nouvelles d’amis lointains : à chaque rencontre, un nouveau chapitre s’écrit au sein d’un univers familiers, occupé par les mêmes comédiens...

le 4 sept. 2024

25 j'aime

9

Plume231
7

Une séparation !

Jusqu'ici, le cinéma de Jonás Trueba suivait, pour ses longs-métrages, une même structure filmique en alignant les longues séquences dialoguées, souvent filmées en plan-séquence, le tout autour d'un...

le 29 août 2024

17 j'aime

5

Marcus31
3

Sur l'écran et dans la salle, l'ennui

Comme je suis un gars plutôt gentil et que je n'ai pas la prétention d'être un pro du cinéma, je préfère écrire que je n'ai pas du tout aimé plutôt que d'inscrire le terme navet dans cette chronique...

le 10 sept. 2024

9 j'aime

3

Cinephile-doux
7

Les joies de la séparation

Il peut être tout à fait légitime de s'agacer du succès (tout relatif) des films de Jonás Trueba qui, s'ils étaient français, seraient vraisemblablement qualifiés par le dévalorisant épithète de...

le 5 juil. 2024

7 j'aime

MordsMoiLeNoeud
7

"Couplez!"

Le phénomène culturel de la comédie de remariage qui avait fait l’objet d’un très large essai, À la recherche du Bonheur du philosophe Stanley Cavell trouve ici un film de synthèse (tellement un ...

le 27 mai 2024

7 j'aime

1

Christoblog
2

Pensum maniéré

Le cinéma de Jonas Trueba est un cinéma évanescent, qui brille par sa délicatesse et sa façon de survoler les sujets d'une façon tendre et atmosphérique. Le résultat est parfois anecdotique (Venez...

le 2 sept. 2024

5 j'aime

Charles_Dubois
7

Critique de par Charles Dubois

Jonás Trueba s'amuse. Il superpose les images, remonte le temps, bouscule son montage, fait des splits screens, bouscule les raccords, imagine des cartons ironiques. Il s'amuse. Citant Truffaut, Hong...

le 13 juin 2024

3 j'aime

Fleming
8

L'étude psychologique particulièrement subtile d'un couple envisageant de se séparer

N'ayant pas trop le temps de consacrer à Septembre sans attendre une analyse longuement réfléchie, j'ai dit de but en blanc dans le titre de ma critique mon sentiment général au sortir de la...

le 25 sept. 2024

2 j'aime

Little-John
8

Voir. Revoir. Au revoir

Si on peut comprendre la volonté du distributeur de présenter le nouveau film de Jonás Trueba comme une comédie romantique (c’est du moins ce que les affiches et la bande-annonce laissent penser)...

le 4 sept. 2024

1 j'aime