Séparer les vivants
On voit les films de Jonás Trueba comme on prendrait des nouvelles d’amis lointains : à chaque rencontre, un nouveau chapitre s’écrit au sein d’un univers familiers, occupé par les mêmes comédiens...
le 4 sept. 2024
28 j'aime
9
Critiques
On voit les films de Jonás Trueba comme on prendrait des nouvelles d’amis lointains : à chaque rencontre, un nouveau chapitre s’écrit au sein d’un univers familiers, occupé par les mêmes comédiens...
le 4 sept. 2024
28 j'aime
9
Jusqu'ici, le cinéma de Jonás Trueba suivait, pour ses longs-métrages, une même structure filmique en alignant les longues séquences dialoguées, souvent filmées en plan-séquence, le tout autour d'un...
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le 29 août 2024
18 j'aime
5
Septembre sans attendre est le 7e film que je vois de Jonas Trueba, je connais ses thématiques, ses obsessions et son goût tout particulier pour mettre des réflexions métafilmiques là où il y en...
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le 28 déc. 2024
12 j'aime
Comme je suis un gars plutôt gentil et que je n'ai pas la prétention d'être un pro du cinéma, je préfère écrire que je n'ai pas du tout aimé plutôt que d'inscrire le terme navet dans cette chronique...
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le 10 sept. 2024
10 j'aime
3
Il peut être tout à fait légitime de s'agacer du succès (tout relatif) des films de Jonás Trueba qui, s'ils étaient français, seraient vraisemblablement qualifiés par le dévalorisant épithète de...
le 5 juil. 2024
8 j'aime
Le phénomène culturel de la comédie de remariage qui avait fait l’objet d’un très large essai, À la recherche du Bonheur du philosophe Stanley Cavell trouve ici un film de synthèse (tellement un ...
le 27 mai 2024
7 j'aime
1
Le cinéma de Jonas Trueba est un cinéma évanescent, qui brille par sa délicatesse et sa façon de survoler les sujets d'une façon tendre et atmosphérique. Le résultat est parfois anecdotique (Venez...
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le 2 sept. 2024
6 j'aime
Jonás Trueba s'amuse. Il superpose les images, remonte le temps, bouscule son montage, fait des splits screens, bouscule les raccords, imagine des cartons ironiques. Il s'amuse. Citant Truffaut, Hong...
le 13 juin 2024
3 j'aime
N'ayant pas trop le temps de consacrer à Septembre sans attendre une analyse longuement réfléchie, j'ai dit de but en blanc dans le titre de ma critique mon sentiment général au sortir de la...
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le 25 sept. 2024
2 j'aime