Pervers précaire
Avoir un regard critique sur Ken Loach, ou sur un film à dimension sociale entraîne toujours quelques confusions. Il est évident qu’il faut dissocier le créateur de son sujet, et que reprocher au...
le 23 oct. 2019
72 j'aime
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Critiques
Avoir un regard critique sur Ken Loach, ou sur un film à dimension sociale entraîne toujours quelques confusions. Il est évident qu’il faut dissocier le créateur de son sujet, et que reprocher au...
le 23 oct. 2019
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1972 : j'avais 15 ans, le lycée nous avaient emmenés au cinéma voir "Family Life", sans trop réaliser combien la vision d'un tel film pouvait s'avérer marquante, voire traumatisante à cet âge-là. Ce...
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le 30 oct. 2019
55 j'aime
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Le dernier Ken Loach n’est pas un grand film du point de vue esthétique, la photographie et la mise en scène sont assez plates, il n'y a pas de suspens à couper le souffle, ni de grandes scènes...
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le 30 oct. 2019
42 j'aime
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Miscellanées de remarques. Ce film est un bel hommage aux parents. ____Des propos débiles entendus sur France Inter et son Masque&la Plume du 23/02/20 ('Les meilleurs films de l'année selon les...
le 19 nov. 2019
29 j'aime
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Cinéphile et étudiant le droit du travail, je ne pouvais louper la sortie au cinéma du dernier film de Ken Loach sur l'uberisation du travail. Ne connaissant pas ce fameux réalisateur au-delà de son...
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le 24 oct. 2019
25 j'aime
4
Quel meilleur moyen de déployer pleinement la barbarie systémique du néo-libéralisme forcené dans lequel nous vivons (avec quelle marge de manœuvre ?) que d'ouvrir le film dans un noir profond où les...
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le 26 juin 2019
19 j'aime
Dans les derniers épisodes des aventures du prolétariat, Loach nous montre des cons qui jouent le jeu et des crétins indécents. Les cons se soumettent à toutes les règles du système dans l'espoir que...
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le 31 oct. 2019
18 j'aime
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Je ne sais plus qui est l'abruti qui a récemment déclaré : "je n'aime pas trop le terme pénibilité, parce ça sous-entend que le travail serait pénible !". Mais sans doute s'ouvrirait-il l'esprit (et...
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le 2 nov. 2019
14 j'aime
13
On dirait que ce film est fait dans le même moule que le précédent (I, Daniel Blake). Cependant le précédent avait été palme d'or à Cannes et gagne ainsi un peu de notoriété et de visibilité, là où...
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le 24 nov. 2019
13 j'aime
1
Peu-on faire du cinéma avec des miséreux? Ken Loach en faisait encore l'éclatante démonstration avec Moi, Daniel Blake, empli de cette dignité qui touche au cœur et ravive la flamme de la révolte. En...
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le 27 oct. 2019
13 j'aime
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