Films de requin(s) !

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Le must-have, qui nous fait transpirer avec deux petites notes de musique, et des plans où on ne voit rien, ou plutôt : où on a très peur de voir quelque chose... LE film de requin.

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Aaaaaaah enfin un film qui se sort du nanar de requin facile, et nous donne à voir un vrai bon film de survie, bien interprété par une Blake Lively attachante, très bien filmé (on sue à grosses gouttes...), et dont le final nous tient en haleine. Bonus : la petite mouette est trop mignonne.

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Pas si honteux que ça... On retrouve notre cher garde-côtes, l'ambiance estivale est bien là avec les jeunes qui sont pris au piège par la vilaine bébête, et au moins le réalisateur ne copie pas Spielberg : il montre énormément sa créature, ce qui perd en finesse, mais donne quelques moments de frissons réussis.

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"Oh non, le bateau prend la flotte, allez on doit aller sur le récif pour qu'on soit secourus... Ah mince, y'a un gros requin entre."
Simple, efficace, et tristement adapté d'une histoire vraie. Avec des images de requin vraiment propres (pas d'effets numériques dégueu).

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Les français sont dans la place ! Plus comique, plus cheap, mais rafraîchissant.

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Un film catastrophe qui mêle crash d'avion et attaques de requins, on partait pour un scénar de nanar, et pourtant, No Way Up exploite plutôt intelligemment son double-concept, avec des scènes débiles qui font rire (le plongeur au hublot...).

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Un film qui ne ré-invente rien, reprend tous les poncifs du genre, mais le fait bien, avec un requin plutôt bien truqué, une fin assez inattendue (on n'aurait pas parié sur un(e) des survivant(e)s - pour ne pas vous spoiler - à l'inverse de la final girl intouchable à la minute 2 du film car elle dit "je suis enceinte", traduisez : dans un film américain "non-déviant", elle ne peut pas crever). Il n'invente pas l'eau (de mer) chaude, mais il surpasse bon nombre de films de requins série Z.

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La nouveauté du film : cadrer dans le bleu opaque éperdu de l'océan, et attendre que la bestiole vous fonce dessus. C'est aussi bête que ça, mais ça marche souvent.

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Jason Statham vs un très gros requin. Complètement idiot et pas aussi fun que prévu (la taille est finalement un argument assez vain), les gens se jettent carrément à l'eau en faisant "oh nooooon", mais c'est très sérieux. Et là est le principal problème de En Eaux Troubles : c'est sérieux. Damned...

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On ne voit jamais le requin (sauf en vue aérienne de loin) ce qui est très frustrant. Mais le groupe de filles est cool, elles pensent même à garder les blessures en-dehors de l'eau (on n'y avait jamais pensé), et l'héroïne qui voulait juste se marier avec sa copine est touchante. Vraiment dommage que le requin soit déceptif, car le reste du film se tient bien.

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Une production Metropolitan, qui assurent des effets spéciaux mieux que ceux de chez Syfy, pour le reste : c'est d'une prévisibilité parfaite, et comme d'habitude, on ne voit que de l'eau rouge (remboursez). Bonus : il y a un clip musical à la fin du générique. Ils ont vraiment cru que ça allait marcher, ce navet (c'est gênant à imaginer).

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Allez, on pense aux enfants... Mais peut-être vaut-il mieux leur montrer Les Dents de la mer d'emblée, car ce Gang de requins est vraiment médiocre...

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Les requins sont aussi laids que sur l'affiche, l'histoire de recherche génétique est le seul atout de ce film, et Samuel L. Jackson ne sait pas trop ce qu'il fait là (et nous non plus). Pas terrible, mais pas totalement désagréable.

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De la citation de films à gogo, des scènes débiles, des doublages en roue libre, on regrette quand même la fin en effets spéciaux très moches et les facilités du scénar pour assurer les suites...

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On commence à attaquer les navets... Le principe d'attaques de requins est un vaste concept dans Shark Attack : les acteurs jouent d'un côté, et on met bout-à-bout des images de documentaire sur les requins, dont la lumière et la couleur de l'eau n'a rien à voir avec celle dans laquelle barbottent les acteurs... Crédibilité zéro. Confrontation assez maigrelette, et tout un pan du film où on zappe complètement les requins pour aller dans une course-poursuite d'action sur terre ferme... Bof bof.

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Attention, production Syfy... Comprenez : costumes réussis, belle musique épique, une intrigue dystopique qui change de l'ordinaire, mais acteurs caricaturaux et effets spéciaux numériques absolument atroces... Ça pique les yeux comme de l'eau salée.

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Très mauvaise suite de (l'étonnant) The Reef, où on se fait à peine croquer le bout de la jambe (sans trop de sang ni blessures... Bah oui c'est une gamine : y'a un tabou, le requin ne peut pas toucher), et deux personnages disparaissent sous l'eau, et basta. On s'ennuie ferme, et le final où une fille se jette carrément du kayak (le requin n'est même pas là, il n'y a pas de remous...) nous a achevé. Ni fait, ni à faire.

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Du Syfy quoi, n'en attendez rien, surtout pas des effets spéciaux identiques d'une production à l'autre, et toujours aussi ratée

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On est pas loin d'une daube de chez Syfy (qui a pourtant coûté la somme colossale de 19 millions !) en version ronflante et pas généreuse du tout (on ne voit rien, et le final est insipide), heureusement qu'il y a Bérénice Bejo !

Annotation :

Une sombre daube (et on reste poli) qui mélange un célèbre feuilleton américain (l'équivalent de nos Les Marseillais sur NRJ12... Oui, on en est là) avec une production Syfy de film de requins. Le "Best of both worlds", comme disait la miss bonde...