Les films qui ont changé votre vie selon RimbaudWarrior

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Première expérience ciné, je n'en ai que de très vagues souvenirs évidemment. Le refoulement ? Mais mes parents étaient quand même un peu sadiques, non ? 3-4 ans.

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Rien de tel que le meilleur Disney (de mon point de vue) pour booster la créativité d'un mioche, même si au détriment de son équilibre psychologique ! 4 ans.

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Un des premiers films que mon père ait enregistré en VHS. Je ne le regardais pas très souvent au début parce qu'il me faisait un peu peur, mais j'étais fasciné par ses marionnettes. 6 ans.

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Idem. Une grande aventure pour enfant poseur de pièges et en quête de fabuleux trésors. Sans oublier le gentil monstre Cinoque. Même si pour le coup, revoir ce film récemment m'a pas mal déçu. 8-9 ans.

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Premier vrai film d'une longue série au ciné d'Angers à 3/4 d'heures de chez nous. Je me rappelle même de la pizza d'avant film. Grand moment, avec entre autres cette scène de rêve où la flotte descend du plafond qui je crois m'a traumatisé, tout comme cette histoire de dépucelage... 9 ans.

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Premier film qui fait un peu peur que j'ai maté chez mon voisin de 3 ans mon aîné - un grand fan de films d'horreur abonné à Mad Movies qui m'en a fait voir de toutes les couleurs... Enfin surtout du rouge... 9 ans ?

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Grand fan d'Indiana Jones dans mon adolescence (moins "Le Temple Maudit" à cause du doublage je pense), je me matais la série chaque fois que je loupais le collège pour maladie. Un excellent remède. 11 ans.

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Quelle épopée ! Et je crois bien que c'est la première fois que j'ai eu du mal à ne pas pleurer au ciné alors qu'il y avait du monde autour et que j'étais ado. 15 ans.

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Ambiance malsaine à souhait et twist final qui m'aura fait grimper le plus haut aux rideaux d'une salle de ciné. La méga claque quoi ! 16 ans.

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Une époque où je me serais presque pris pour un caïd... Et dans la genre, Scarface fut une véritable claque à te dégoûter de la coco et autres mauvaisetés. 18 ans.

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Comme pour beaucoup, la première trilogie de Peter Jackson m'a donné goût à la fantasy. Et pas qu'un peu ! 23 ans.

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Je n'avais alors vu que "Sailor et Lula" - que j'avais beaucoup apprécié - de David Lynch... Mais là, c'est un tout autre monde qui s'ouvrait à moi : le monde du mindfuck dans lequel j'aime à me perdre avec le secret espoir de percer ses mystères. 24 ans.

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Pendant très longtemps, j'ai rechigné à m'intéresser aux "vieux" films, en dehors des westerns spaghetti et de Charlie Chaplin, mais Psychose a su me prouver que j'avais tort et qu'ils n'étaient pas forcément chiants... 27 ans.

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Découverte un peu par hasard du plus grand d'entre tous, alors que j'étais encore du genre à regarder de haut le cinéma d'animation. C'était au cours de la grande rétrospective d'Arte de 2010. 31 ans.

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Le coup de foudre. J'étais déjà complètement emballé par cette rétrospective de 2010, et après avoir vu Totoro puis Mononoké, il s'est passé un truc de dingue rien qu'à la bande annonce de Nausicaä, que je voyais atterrir sur son planeur. Je savais que j'allais adorer. J'étais pourtant loin de la réalité : ce chef-d'oeuvre ultime m'a totalement transcendé ! 31 ans.

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Un film que j'ai découvert sur le très tard malgré le clip qui passait à la télé dans les années 80. Et j'ai adoré au-delà de toutes mes espérances ! Mais c'est surtout une manière pour moi de terminer ce top en constatant que Sens Critique - associé au streaming - change ma vie d'amoureux du cinéma depuis maintenant presque 1 an. Et c'est pas d'la lèche, hein ! 37 ans.