2018 : une année cinéma

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Long et ennuyant...

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Presque aucun souvenir de ce téléfilm...

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Assez jouissif par moment. Bacri, toujours au top.

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Toujours aussi beau, il s'agit d'une histoire ample et tragique comme seul Marcel Pagnol peut le faire. Un trio d'acteur hors norme : Montand, Depardieu, Auteuil campent ce drame paysan aux allures de tragédies grecques dans des paysages sublimes.

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Je n'avais pas vu le premier volet de la trilogie Batman de Nolan. Force est de constater que tous les ingrédients des épisodes suivants sont déjà réunis.

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Une oeuvre moins profonde sûrement que d'autres de Wes Anderson mais il y a toujours cette fantaisie et cette drôlerie bouffonne que j'adore.

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Oeuvre très dure, très réaliste, une oeuvre de femmes par les femmes pour les femmes, sur un pays replié sur lui-même, conservateur et pieux. Les actrices sont d'une grande justesse et le propos, loin d'être manichéen est subtil et profond.

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Ni bon ni mauvais. Assez oubliable malgré un effort louable pour élargir l'univers. La révélation finale est assez insignifiante et c'est bien dommage. Quelques bons moments de course poursuite, de rencontres avec des ET dégeu et des chasseurs de primes peu scrupuleux. Bonne musique également.

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Le portrait d'un homme fascinant et d'un génie des mathématiques au charme tout britannique. Un peu convenu mais biopic touchant.

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Par moment jouissif, le film enchaine aussi les scènes absurdes et les grosses ficelles (clonage humain, WTF ?!). Annonce un probable épisode 3 au gros potentiel.

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Long, plat, mièvre, avec une pelletée de personnages tous plus stéréotypés les uns que les autres. Des rebondissements à la pelle qui ne parviennent pas à compenser le vide.

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Film particulièrement étrange, dans une sorte de France parallèle où le drame côtoie le grotesque. Laurent Laffite cabotine entre deux états, entre extase et folie. La France revêt des allures de western déjanté sans parvenir pour autant à parfaitement atteindre ses intentions artistiques.

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Certains ont détesté, personnellement j'ai énormément apprécié l'humour absurde de Dupieux, campé par un duo Poelvoorde/Ludig excellent. Film à prendre au 1000ème degré.

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Sans doute le Blockbuster le plus intéressant de l'année avec des scènes d'action dans Paris de toute beauté. La fin, impressionnante, est un peu moins intéressante mais toute la séquence française qui met à l'honneur notre capitale fait vraiment plaisir.

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Sympathique, avec un casting 5 étoiles. Mais l'ensemble reste tout de même affreusement niais. Un film d'été avec quelques chansons adaptées de Abba et qui feront danser.

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Peu de souvenirs de ce film vu à la télévision. Mais j'adore toujours autant Lino Ventura.

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Etrange film, quasi clandestin qui arpente les confins de l'Iran, entre fiction et réalité. Il révèle la peur, la violence d'un pays étouffé par un régime théocratique et dictatorial. Quelques moments de grâce, notamment à la fin.

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Des caméos inutiles à la pelle, un humour éculé. Trop convenu, trop cliché.

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Magnifique photographie, un acteur extraordinaire (Marcello Fonte) et une histoire terrifiante, pour nous plonger dans les méandres noirs de l'Italie contemporaine. Un rapport particulier s'établie avec les chiens, plus humains que les hommes.

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Un film assez terrible et rude, avec un casting excellent, sur un convoi de folles emmenés de force dans un asile loin de leur famille. Mais la folie n'est peut-être pas là où on le pense.

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Toujours aussi intéressant, quoiqu'un peu long, ce film de Sorrentino interroge les paradoxes de l'Italie au travers de la figure de Berlusconi (Toni Servillo, magistral). On y parle de décadence, de superficialité, de fric et de femmes faciles, à l'image de l'Italie de Berlusconi, dans des plans et des séquences clipesques et poétiques.

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Mouais. Une affaire d'espionnage humoristique avec un casting sympa. Mais film oubliable.

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Un étrange film, parfois très image d'Epinal, très convenu, très brouillon, qui enchaine les évènements de la Révolution comme si on les connaissait par coeur, perdant un peu le spectacteur et pourtant qui montre, dans une actualité de révolte, les mécanismes de la Révolution. Plusieurs scènes sont très marquantes : l'ouverture et la fermeture notamment. Le casting est excellent.

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J'aime toujours l'esthétique du film mais le scénario est quand même cousu de fil blanc. Vaut pour le superbe hommage à Shining, meilleure scène du film selon moi.

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Un scénario très touffu, pour un film de transition qui s'intéresse en profondeur aux personnages, quitte à être moins centré sur les créatures magiques et les scènes d'action. Prometteur pour la suite, d'autant plus que le casting choisi montre sa valeur (Johnny Depp notamment).

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Pas fini, j'ai trouvé ça raté, et niais et le casting ne parvient pas à rattraper une histoire mièvre et trop baroque.

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Un film obscur, à l'esthétique particulière. Le propos est peu compréhensible, tout est axé sur l'esthétique et cela donne un film bancal et souvent cousu de fil blanc.

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La mise en scène prend à certains moments de l'ampleur, notamment à l'ouverture. Le casting impressionne : Anglade est fabuleux, Adjani, hypnotique, Auteuil, cabotin. Mais il y a un côté kitsch un peu étrange qui gâche quelque peu le plaisir.

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Un film particulier, rempli de détails, d'allers-retours, de scènes quotidiennes, de banalité et pourtant il s'y tisse une atmosphère particulière où se mêle une scène de crime et des considérations sur la vie artistique et l'esthétique dans un Londres des années 70. On y sent l'influence de la nouvelle vague.

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Beau. Cuaron nous abreuve d'incroyables plan séquences en noir et blanc, nous plonge dans le Mexico des années 70 avec une facilité déconcertante, au travers d'une ambiance sonore et visuelle très riche. Pas de musique par dessus, pas d'effets de manche ou spéciaux, une histoire d'un cruel réalisme où les rêves de personnages ne parviennent pas à décoller (d'où le leitmotiv de l'avion). Yalitza Aparcicio, est touchante de pudeur et de retenue.