Le viol dans les westerns

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Film qui ne mache pas son image afin de montrer sans le moindre filtre l'impact catastrophique des tuniques bleues sur les Indiens. Tuniques bleues qui furent considérés comme des héros et qui ici sont montré sous une autre facette. Difficile à regarder sur certaines séquences.

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La haine a l'état pur. Ici le viol perpétré par l'antagoniste n'est pas fait pour assouvir un fantasme ou un besoin primaire cruel mais un geste de folie pour blesser le mari de celle-ci qu'il déteste par-dessus tout et qu'il veut à tout prix atteindre en violant celle que le héros aime.

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Ce film se positionne comme Soldat Bleu dans l'intention du cinéaste Hergonese, sauf qu'ici il ne s'agit pas de livrer une critique autour du sort catastrophique fait sur les Indiens, mais plutôt de la faire sur le sort des femmes. Des femmes rabaissées, maltraitées et considérées comme de la chair fraîche par les soldats du fort.

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Geste barbare fait sur la mère Indienne de Nevada Smith qui sert ici à alimenter la colère du jeune héros inexpérimenté qui fera tout pour se venger en livrant une véritable vendetta.

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Tentative de viol sur une jeune fille de 15 ans. Heureusement Clint stoppera cette folie et puniera comme il se doit le violeur en lui tirant une balle en plein dans les roustons.

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3 hommes qui violent l'héroïne dans une séquence difficile, certainement un peu gratuite dans la démonstration mais qui à au moins le mérite de plonger le spectateur dans une colère qui sera en adéquation avec la colère de l'héroïne ce qui fera que tout comme elle, on veut voir les trois salopards payer pour leurs crimes.

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Une femme aguicheuse qui ne cesse de taquiner fortement Clint qui finalement ne s'encombre pas en la prenant de force. Une scène assez dérangeante dans le fait qu'on ne saisit pas si c'est ce que recherchait depuis le début la jeune femme (pas le viol bien entendu, mais le rapport sexuel avec Clint). Une scène assez gratuite qui aurait totalement pu être exclue du film.

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Ici les deux antagonistes sont de vrais monstres qui tout simplement s'emparent de force des femmes qu'ils désirent, quittent à les tuer derrière avec leurs enfants. De belles pourritures que ne manqueront pas de punir Éva Green ainsi que Mads Mikkelsen.

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Alors là j'ai un gros problème avec la scène de ce film qui traduit une part du cinéma Hollywoodien qui m'a toujours déstabilisé puisqu'un homme (en général le héros) prend de force une femme qui ne le désire pas, et qui après l'acte forcé aime finalement celui-ci d'un véritable amour.
Alors, comment dire...
Juste, non...
C'est censé être romantique ?

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Scène de viol avant tout suggérer bien que très démonstratif dans l'avant scène de viol qui ici est dans une pure gratuité inutile.

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Il s'agit d'un viol mais pas dans le sens où on pourrait l'entendre vu qu'ici il s'agit avant tout de graves sévices racistes pratiqué par la population blanche (même les femmes participent) à une Indienne en la désabillant de force en plein milieu de la rue, pour mieux l'humilier dans sa chair et son sang par des coups et autres vulgarités disproportionné. Si la scène est choquante, elle est ici volontairement démontré pour appuyer la violence des Américains (hommes et femmes compris) qui par pur racisme de foi et d'idéologie se permettent le pire sur des pauvres innocentes juste parce qu'elles sont indiennes.

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Scène présentée dans un but purement dramatique pour ajouter une complainte supplémentaire à un personnage féminin qui se présente comme une figure tragique sur un hôtel sacrificiel à la décharge du personnage principal qui doit réagir à cet acte horrible soit par la vengeance, soit par la fatalité en aceptant la mort comme une délivrance et non comme un fardeau.

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Tentative de viol heureusement arrêtée par Joel McCrea qui juste derrière fera tomber la sentence ultime sur l'agresseur en le tuant. Rapide et efficace.

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Donatien92600 :
"Ça déclenche le processus de vengeance dans Le Dernier Train de Gun Hill, tout le film part de ça."

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Un western bouleversant dans lequel Guy Pearce incarne un prêtre radical qui abuse sexuellement de sa jeune fille après le suicide de la mère de celle-ci. La jeune fille prend la fuite et on suis tout du long son périple avec ce père qui ne cessera de la poursuivre durant des années.

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pierrick_D_ : Françoise Fabian se fait violer. Françoise Fabian est la grande méchante de l'histoire et le viol fait partie de sa punition. C'est un peu comme dans "L'Homme des hautes plaines", le héros se venge de toute la ville et le viol de la fille intervient dans ce contexte.

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Johannes Roger : c'est un rape and revenge donc du cinéma d'exploitation donc un peu des deux... Le viol sert la vengeance qui est le moteur du récit.. Après tout cela est filmé très complaisamment comme souvent dans le genre...

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Viol seulement suggéré à deux reprises autour de madame Yeaby par des Apaches.

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Tentative de viol de Lee Marvin contre Donna Reed, il sera stoppé par Randolph Scott.

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Un des hommes de main de Jack Remy durant l'assaut d'une ville du Colorado est en train de violer une femme, il se fera abattre avec la pauvre femme par Remy, non pas dans un geste de compassion mais de destruction car son homme de main en violant la femme n'est pas sur le terrain en train de se battre. Une scène qui illustre bien la folie des invasions militaires par la force.

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Aurea : Le viol a lieu au début du film : Josey Wales, un fermier du Missouri, assiste impuissant au viol de sa femme et à son meurtre ainsi qu'à celui de son jeune fils et à l’embrasement de sa maison par une milice de l’armée nordiste, les Pattes Rouge. Laissé pour mort, Wales survit à ses blessures et enterre les siens. Désœuvré, il quitte ses terres et part avec un groupe de Confédérés sous la direction du capitaine Fletcher (John Vernon, pour assouvir sa vengeance. Le paisible fermier devient alors un tireur impitoyable.

Annotation :

La femme du riche propriétaire Don Felipe qui manque de peu de se faire violer par Chuncho et deux de ses hommes et qui est sauvé in extremis par Nino. Devant ce geste, Adelita, la seule femme de la bande critique Nino en lui expliquant qu'elle ne comprend pas pourquoi il a sauvé cette femme car lorsqu'elle avait 15 ans elle s'était faite violée et que tout le monde s'en foutait. Une séquence forte qui porte un message élémentaire devant cette situation catastrophique, que l'on soit un combattant de la liberté ou du pouvoir en place. Au final, ni l'un ni l'autre ne sont des cas exemplaires.

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Shirley MacClain qui en tant que sœur Sara, manque de très peu de se faire violer par trois hommes bourrés, jusqu'à heureusement l'intervention de Clint.

Annotation :

GnM
Death Rides A Horse, c'est un gamin, qui assiste au viol de sa mère et par la suite, sera abattu. C'est l'enfant, qui reconnaitra les bourreaux masqués, par des signes bien distinctif. L'un à la poitrine tatoué, l'autre porte un collier en forme de tête de mort, et un autre et balafré en haut du sourcil.

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La pauvre Sara Cutler (Leila George) se fait capturer par son oncle Grant Cutler (Chris Pratt), une véritable pourriture qui va la contraindre de force à se prostituer. Sachant qu'avant cela, il précise une chose ignoble :
"Vu qu'elle est de la famille, j'ai jamais vraiment participé. J'ai demandé à Oran de l'essayer pour moi. C'est important dans ce commerce, faut s'assurer qu'elles se cassent pas en deux. Elle s'est pas cassée. Elle est très souple."
Ici, le viol est avant tout suggéré. La caméra nous épargne l'ignominie de l'oncle pour accentuer notre haine vis à vis de lui.

Annotation :

Hattie McCallister (Gina Carano) s'offre à des hors-la-loi sur le point de pendre son mari. Une manière de gagner du temps, pour autant cela reste un viol vu la violence employée et la situation périlleuse à laquelle elle va se confronter.

Annotation :

Tentative de viol sur la pauvre Miss Ruby (Lorella De Luca) par un bandit mexicain qui va se retrouver face à Ringo qui va sauver in extremis la pureté de la demoiselle.

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La pauvre Madame Briggs, qui a été cruellement assassinée, a probablement été violée par ses assaillants. Ces derniers voulaient à tout prix faire souffrir Nicolas Cage, qui leur rendra la monnaie de leur pièce avec l'aide de sa jeune fille.

Annotation :

Kevin Conway pour Eugene Dred est un duelliste sinistre doublé d'un pédophile qui apporte une froideur et une menace supplémentaire au périple. Durant le récit il viole une pauvre enfant, et Sharon Stone le corrigera adroitement en lui tirant en plein dans les testicules, pour ensuite le dégommer une bonne fois pour toute.