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créée il y a presque 11 ans · modifiée il y a 14 joursLa Fille de Ryan (1970)
Ryan's Daughter
3 h 26 min. Sortie : 23 décembre 1970 (France). Drame, Romance
Film de David Lean
Morrinson a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.
Annotation :
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… Au sein de ce cadre incroyablement photogénique s'insère une autre forme d'anachronisme, en filmant la côte irlandaise en pleine tempête, frappée par d'immenses vagues et balayée par les vents, avec une intensité et une audace faisant écho aux côtes d'une île du Finistère que Jean Epstein avait choisie pour raconter le quotidien des goémoniers dans "Finnis Terrae". Cette façon de capter une menace dans l'agitation de la mer au cours d'une opération de sauvetage, renforcée par les variations lumineuses du ciel, est un moment pictural incroyable. La férocité des conditions climatiques est on ne peut plus palpable.
C'est dans cet écrin de choix que prend forme l'histoire de ce petit village, au cours de la Première Guerre mondiale et aux prémices de la guerre d'indépendance irlandaise. Le temps long de l'histoire globale se mêle discrètement et agréablement aux différents temps courts des histoires particulières. Le personnage de Rose Ryan interprétée par Sarah Miles n'est pas sans rappeler celui de Julie Christie dans "Loin de la foule déchaînée" (1967) de John Schlesinger, dans leurs expérimentations sentimentales et dans leurs tentatives d'émancipation (amoureuse, entre autres) au sein d'un environnement relativement hostile. De nombreux personnages n'existent pas vraiment au-delà de leur fonction (à l'instar du prêtre ou de l'indépendantiste), mais ils participent à un tableau d'ensemble intéressant. D'abord attirée par la figure rassurante de l'instituteur avec qui elle se mariera, agrémenté d'une nuit de noce un peu particulière, elle subira de plein fouet un mouvement de désir charnel en sens opposé. À partir des premiers moments de doute s'installera un va-et-vient constant entre ces deux pôles, incarnés par Robert Mitchum (l'instituteur) et Christopher Jones (le major anglais). Dans cette phase, "La Fille de Ryan" se laisse aller à des séquences d'errance empreinte de rêverie, à l'image de cette scène où Mitchum erre sur la plage avec sa classe et contemple, impuissant, les fantômes des amants suscités par quelques traces de pas sur le sable.
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Zabriskie Point (1969)
1 h 50 min. Sortie : 17 avril 1970 (France). Drame, Road movie
Film de Michelangelo Antonioni
Morrinson a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.
Annotation :
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Cette scène concentre d'ailleurs encore une fois cette sensation d'extrêmes intimement liés, avec la simplicité presque scolaire de la critique de la société de consommation, à travers la télévision et autres mobiliers qui explosent, et la dimension totalement hallucinatoire du support du message, à savoir un fantasme meurtrier qu'une musique envoûtante des Pink Floyd vient enluminer : https://www.youtube.com/watch?v=MwS4kjGIRP8. La caricature de la société est un peu gênante vue d'aujourd'hui, mais la puissance de la poésie encapsulée dans ce passage reste à mes yeux (et oreilles) intacte.
De l'orgie à la destruction.
Un nommé Cable Hogue (1970)
The Ballad of Cable Hogue
2 h. Sortie : 12 juin 1970 (France). Comédie dramatique, Romance, Western
Film de Sam Peckinpah
Morrinson a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
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Puis vient le temps de la dure réalité, qui anéantira toutes ces belles promesses oniriques. La dernière demi-heure du film, d'une grande brutalité à travers les thèmes du lynchage, du suicide et de l'exil, cristallise des divergences, des antagonismes et des conflits qui étaient restés relativement sous-jacents jusqu'alors. Dans les derniers regards que s'échangent Rose et Michael (l'idiot du village, au sens propre) au moment de se dire adieu, on reçoit en pleine face l'expression de ce dont ils ont souffert durant tout le film : au-delà de leurs différences aussi évidentes qu'innombrables, ce sont des parias, des marginaux, des monstres, des déviants. Lui, évidemment, aura subi les châtiments du village tout entier à cause de son handicap physique et mental. Elle, de manière plus progressive et détournée, se verra conspuée par une foule haineuse et édentée à cause de ses mœurs jugées immorales. Le personnage du major s'ajoute également à ces portraits de solitaires malgré eux, soldat de l'armée britannique envoyé en terre irlandaise inhospitalière et hanté par des traumatismes de guerre. Ces exclus éternels de la communauté, de par leurs différences qui ne seront jamais acceptées, participent à un autre paysage, beaucoup moins charmant et bucolique que celui des côtes irlandaises, d'une saisissante cruauté.
Traître sur commande (1970)
The Molly Maguires
2 h 04 min. Sortie : 17 juin 1970 (France). Drame, Historique
Film de Martin Ritt
Morrinson a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.
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Cent ans après la Déclaration d'indépendance des États-Unis, c'est le capitalisme industriel qui règne sur ce coin un peu particulier du territoire, la Pennsylvanie, où opèrent des irlandais émigrés réunis en une société secrète sous l'appellation des Molly Maguires. Leur activité principale : saboter les mines de charbon et malmener les tenants de l'ordre établi en représailles à des menaces d'interdiction du syndicalisme. Un contexte d'exploitation de main d'œuvre et d'inégalités sociales, encore une fois. Mais de manière très adroite, "The Molly Maguires" ne se focalise pas directement sur le point de vue de ces saboteurs : il choisit plutôt le parcours d'un détective (lui-même exploité par la police) en charge d'infiltrer le mouvement pour le démanteler et faire pendre ses principaux acteurs. Le récit fait ici est en réalité une version édulcorée de la réalité, chargée en pantomimes de procès et en exécutions à visée intimidante.
C'est ici qu'il faut reconnaître le talent de Richard Harris dans son rôle hautement ambigu d'infiltré, à la fois charmeur, bon vivant, fondamentalement immoral et toujours à la lisière de l'adhésion à la révolte sociale. Dans sa propension à épouser les causes défendues par ceux qu'il surveille, dans sa spontanéité à crier "un pour tous, tous pour un", à tabasser un gardien ou à foutre le feu à un magasin de luxe, il cultive une zone de flou très intéressante. Le film peut ainsi se lire comme l'affrontement entre deux conceptions opposées de la révolte : d'un côté (Connery) ceux qui lutteront jusqu'au bout d'un combat perdu d'avance, et de l'autre (Harris) ceux qui souhaiteront s'extirper de leur condition quelles que soient les compromissions et les déshonneurs.
Dans cette description d'un rapport de force complexe, chacun essayant de tirer l'autre vers un piège qui le dévoilerait publiquement avec plus ou moins de scrupules au fil du temps, "Traître sur commande" est particulièrement réussi. C'est en outre une immersion soignée, quoique très sobre et sans effusion, dans le quotidien de ces mineurs qui fera ressortir chez le personnage de Harris, contre toute attente, un dégoût pour l'ordre auquel il obéit.
Hospital (1970)
1 h 24 min. Sortie : 2 février 1970 (États-Unis). Société
Documentaire de Frederick Wiseman
Morrinson a mis 8/10 et a écrit une critique.
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Wiseman prend le soin de marquer également la diversité des gens qui atterrissent dans ce service, avec d'un extrême à l'autre des gros toxicos ressemblant à des zombies lacérés de coups de couteau et un jeune étudiant des Beaux-Arts en plein bad trip — visiblement après avoir ingéré un mauvais cacheton ou un peu trop de mescaline. Moment génial, d'ailleurs, indépendamment du sale quart d'heure qu'a dû passer le principal intéressé, car Wiseman s'en sert comme un ressort comique parfait pour désamorcer l'ambiance pesante qui peut régner. Au milieu de cette jungle cruelle, l'absurde flirte avec l'humour : on se souviendra très longtemps de cette séquence remplie de "I don't want to die" qui se termine dans des flots impromptus de vomi.
Ce qu'on peut aussi beaucoup apprécier chez Wiseman, c'est cette façon de mettre tout au même niveau, d'accorder de l'importance à presque tout, de mélanger le grave et l'anodin. Cette disposition contribue à créer une belle complexité qui n'évite pas pour autant le tragique ou le sordide.
L'Adversaire (1970)
Pratidwandi
1 h 50 min. Sortie : 14 avril 1993 (France). Drame
Film de Satyajit Ray
Morrinson a mis 8/10 et a écrit une critique.
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Un film d'errance, psychologique pour beaucoup, montrant à quel point Siddharta se sent pris en étau par une multitude de contraintes, l'absurdité du monde du travail, l'indépendance de sa sœur, les préoccupations de son frère ou de son camarade de chambre, l'injonction de la famille qui se fond avec celle des recruteurs... Le chaos de son monde transparaît clairement dans la mise en scène, aussi sèche qu'agréablement confuse, témoignant son chaos mental et les nombreuses digressions qui l'animent. Seul le personnage de l'étudiante suscitera un électrochoc positif qui lui fournira l'énergie nécessaire pour refuser l'humiliation et renverser une partie des rapports de force. Enfin il dépasse l'indécision qui le paralysait et embrasse une révolte contre ce qui anesthésiait son intégrité.
Étranges Étrangers (1970)
58 min. Sortie : 1970 (France).
Film de Marcel Trillat et Frédéric Variot
Morrinson a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Le Cercle rouge (1970)
2 h 20 min. Sortie : 20 octobre 1970 (France). Policier, Thriller, Drame
Film de Jean-Pierre Melville
Morrinson a mis 8/10.
Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon (1970)
Indagine su un cittadino al di sopra di ogni sospetto
1 h 55 min. Sortie : 16 octobre 1970 (France). Policier, Drame
Film de Elio Petri
Morrinson a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.
Annotation :
Suite de https://www.senscritique.com/liste/Cinephilie_obsessionnelle_2019/2299251/page-8
Pour décrire ce criminel profondément mégalomane, Petri use d'un style proche du grotesque, à travers le comportement du protagoniste mais aussi des cadrages très serrés, centrés sur les visages boursoufflés, parfois en contre-plongée. On se croit régulièrement dans un western spaghetti à la Leone. Il ira jusqu'à vociférer, devant un parterre de policiers acquis à sa cause, "Nous sommes les protecteurs de la loi, que nous voulons immuable, sculptée dans l'éternité ! Le peuple est mineur,la ville est malade. À d'autres, la tâche de guérir, d'éduquer. À nous, le devoir de réprimer !La répression est notre vaccin.La répression est la civilisation !". Et de terminer sur un "N'applaudissez pas, je vous en prie. Soyons modestes... au travail."... Il n'y a pas de limite à la bêtise, et les excès ne connaissent aucune frontière. La citation finale entérine la dimension kafkaïenne de la fable, au terme d'un défilé de gradés qui renvoie plus au carnaval (certes terrifiant) qu'à la réunion administrative.
Plus on avance, et plus le jeu auquel s'adonne Gian Maria Volonté perd en maîtrise, en passant de la jouissance perverse et cynique au caprice d'enfant immature pris les doigts dans le pot à confiture. Après l'enivrement et le stupre, les sanglots dans les jupes de maman. On s'enferme alors (encore) dans une autre forme de grotesque, tout en étayant une autre partie du propos : le corps policier ne peut admettre aucun maillon faible, au risque de voir l'institution toute entière s'écrouler. Le statut de policier comme gage d'immoralité.
Les Nains aussi ont commencé petits (1970)
Auch Zwerge haben klein angefangen
1 h 36 min. Sortie : 2 février 1971 (République fédérale d'Allemagne). Drame
Film de Werner Herzog
Morrinson a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.
Butch Cassidy et le Kid (1969)
Butch Cassidy and the Sundance Kid
1 h 50 min. Sortie : 6 février 1970 (France). Biopic, Western
Film de George Roy Hill
Morrinson a mis 8/10.
Woodstock (1970)
3 h 04 min. Sortie : 17 juin 1970 (France). Historique, Musique
Documentaire de Michael Wadleigh
Morrinson a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.
Patton (1970)
2 h 52 min. Sortie : 24 avril 1970 (France). Biopic, Drame, Guerre
Film de Franklin J. Schaffner
Morrinson a mis 8/10.
Le Reptile (1970)
There Was a Crooked Man...
1 h 58 min. Sortie : 19 septembre 1970 (France). Comédie, Western, Aventure
Film de Joseph L. Mankiewicz
Morrinson a mis 7/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Suite de https://www.senscritique.com/liste/Cinephilie_obsessionnelle_2017/1554170/page-17
La chose la plus inattendue est sans doute l'horizon vers lequel le film se dirige à la fin, alors que Kirk Douglas révèle son vrai visage lors de l'évasion finale. Une forme de misanthropie féroce, mais jamais lourde ni insistante. La pluie de morts qui clôt le film est à la fois assommante de noirceur et presque drôle, surtout si l'on se concentre sur le personnage de Kirk Douglas. On aurait presque envie de le plaindre en dépit des pires saloperies dont il aura été l'auteur. Dans sa dimension de jeu de massacre personnifié par les deux têtes d'affiche vieillissantes, en soulignant avant tout leur caractère hypocrite et lâche, "Le Reptile" malmène quelque peu les figures traditionnelles du héros et déboulonne, dans une certaine mesure, le mythe. Aussi déstabilisant que réjouissant.
De l'or pour les braves (1970)
Kelly's Heroes
2 h 24 min. Sortie : 26 février 1971 (France). Guerre, Aventure, Comédie
Film de Brian G. Hutton
Morrinson a mis 7/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Suite de https://www.senscritique.com/liste/Cinephilie_obsessionnelle_2018/1957168
La peinture de la guerre, comme un joyeux bordel où les motivations se trouvent plus dans le vol d'une banque que dans la libération d'un pays, constitue une jolie farce. Le film se permet même un certain jusqu'au-boutisme en laissant s'allier ces GIs avec un tankiste SS pour défoncer la porte de la banque... L'or corrompt vraiment tout et tout le monde mais chasse les "negative waves". Il permet également à un bataillon de soldats vaguement convaincus par l'intérêt de leur investissement dans ce coin de la planète de se transformer en un régiment capable de percer les lignes blindées ennemies. Derrière l'héroïsme, une jolie couche d'hypocrisie et d'absurdité.
La Vallée perdue (1971)
The Last Valley
2 h 10 min. Sortie : 19 mars 1971 (France). Aventure, Drame, Guerre
Film de James Clavell
Morrinson a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Le Cœur fou (1970)
1 h 40 min. Sortie : 24 avril 1970 (France). Drame
Film de Jean-Gabriel Albicocco
Morrinson a mis 7/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.
Annotation :
Suite de https://www.senscritique.com/liste/Cinephilie_obsessionnelle_2021/2910508/page-5
Un cinéma à forte propension maniériste, avec une inclination nette pour les séquences hystériques, agaçant sous certains aspects, dérangeant à de nombreux titres, mais qui fait de son refus du réalisme un puissant carburant pour un romantisme noir et halluciné. Albicocco ne semble pas être un homme de compromis : il se situe plutôt du côté de l'incendie. Peut-être davantage que le formalisme baroque d'Argento, c'est l'excentricité angoissante d'un Zulawski (tendance "Possession") qu'évoque "Le Cœur fou" — avec une petite dose de LSD en plus. Les travellings et les plans-séquences à répétition pourront en lasser certains, il n'empêche que la mise en scène confine à l'abstraction et opère un hold-up fou sur l'intrigue, à grand renfort de fuites dans la forêt, d'échappées oniriques dans les paysages de la Sologne, et de distorsions en tous genres.
L'Aveu (1970)
2 h 19 min. Sortie : 29 avril 1970. Drame, Thriller
Film de Costa-Gavras
Morrinson a mis 7/10.
Les Choses de la vie (1970)
1 h 29 min. Sortie : 13 mars 1970. Drame, Romance
Film de Claude Sautet
Morrinson a mis 7/10.
Les Hommes contre... (1970)
Uomini contro
1 h 41 min. Sortie : 4 juin 1971 (France). Drame, Guerre
Film de Francesco Rosi
Morrinson a mis 7/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Suite de https://old.senscritique.com/liste/cinephilie_obsessionnelle_2022/3158495/page-16
Les deux figures sont globalement peu novatrices mais restent très pertinentes, comme peut éventuellement en témoigner le procès pour dénigrement de l'armée dont le film fut l'objet (l’Italie détient à ce titre le triste record du plus grand nombre de fusillés pour divers manquements durant cette guerre). C'est une vision intéressante de la lutte des classes dans les tranchées, qui met en exergue l'opposition entre chair à canon des classes laborieuses et rêves patriotiques insensés des aristocrates. Le traitement est parfois un peu insistant pour montrer l'asymétrie du pouvoir entre ceux qui le détiennent et ceux qui le subissent, avec une incompétence notoire des officiers identifiés comme les responsables quasi fanatiques des massacres. Mais l'ensemble est très bien contrebalancé par une atmosphère soignée : lumières livides, brumes éparses, hiver glacial, boue et poudre, et plus généralement un climat apocalyptique prenant. À noter cette séquence ahurissante, entre comédie et boucherie, de soldats cobayes à qui on fait porter des armures blindées ("vous êtes invincibles comme les guerriers romains") se faisant dézinguer comme les autres.
Brewster McCloud (1970)
1 h 45 min. Sortie : 18 août 1971 (France). Fantastique, Comédie
Film de Robert Altman
Morrinson a mis 7/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.
L'Oiseau au plumage de cristal (1970)
L'uccello dalle piume di cristallo
1 h 32 min. Sortie : 20 juin 1971 (France). Thriller, Épouvante-Horreur, Policier
Film de Dario Argento
Morrinson a mis 7/10.
Le Conformiste (1970)
Il Conformista
1 h 51 min. Sortie : 17 février 1971 (France). Drame, Thriller
Film de Bernardo Bertolucci
Morrinson a mis 7/10 et a écrit une critique.
Little Big Man (1970)
2 h 19 min. Sortie : 31 mars 1971 (France). Western, Historique, Aventure
Film de Arthur Penn
Morrinson a mis 7/10 et l'a mis en envie.
Portrait d'une enfant déchue (1970)
Puzzle of a Downfall Child
1 h 45 min. Sortie : 30 janvier 1972 (France). Drame
Film de Jerry Schatzberg
Morrinson a mis 6/10.
Des jours et des nuits dans la forêt (1970)
Aranyer Din Ratri
1 h 55 min. Sortie : 17 mars 1993 (France). Drame
Film de Satyajit Ray
Morrinson a mis 6/10.
M.A.S.H. (1970)
1 h 56 min. Sortie : 12 août 1970 (France). Comédie, Guerre, Drame
Film de Robert Altman
Morrinson a mis 6/10.
Vivre aujourd'hui, mourir demain (1970)
Hadaka no Jukyu-sai
2 h. Sortie : 31 octobre 1970. Drame
Film de Kaneto Shindō
Morrinson a mis 6/10 et a écrit une critique.
L'Enfant sauvage (1969)
1 h 25 min. Sortie : 26 février 1970. Drame
Film de François Truffaut
Morrinson a mis 6/10.
Husbands (1970)
2 h 11 min. Sortie : 1971 (France). Comédie, Drame
Film de John Cassavetes
Morrinson a mis 6/10.