Les meilleurs films avec Romy Schneider selon Louve d'Avalon

Annotation :

« Finalement, je retrouve en [Sisi] beaucoup de traits de caractère qui ne me sont pas étrangers… »

(à propos de la version de Visconti, naturellement !)

Annotation :

"[C'est un film] qui me touche beaucoup, tout ce qui arrive. Je vais pas raconter l'histoire. J'aime beaucoup, ça n'est pas exactement une comédie mais c'est vraiment très beau. […] C'est une participation que je fais avec le plus grand plaisir puisque cette histoire, justement, me touche beaucoup."

(interview sur le tournage du film par Première, 1975)

Annotation :

"C'est le livre de Kessel que j'ai lu il y a très très longtemps et c'est l'une de ces histoires que l'on n'oublie pas mais qu'on met dans un tiroir, on fait un autre film. Mais ça m'a jamais vraiment quitté. […] Je peux pas très bien expliquer, c'est des choses comme une avalanche, comme un cri. Ce film là est pour moi une manière d'avancer dans la vie. […] Nous sommes bien conscients qu'il a des gens qui ne vont pas aimer du tout, mais est ce que c'est tellement important ? Je n'ai pas peur, non. "

(Interview par France Roche lors de la sortie du film, 14 avril 1982)


"Für mich ist Die Spaziergängerin von Sans-Souci mehr als nur ein Film. Sehr Viel mehr !" / "Pour moi, la Passante de Sans-Souci est bien plus qu'un simple film !"

(?)

Annotation :

"Le titre, je n'aime pas du tout : il n'a rien avoir avec ce superbe film qu'a fait Andrzej Zulawski, où je suis ravie qu'il marche comme il marche puisque que nous avons eu peur et nous avons pas cru que ça marchera aussi bien parce que c'est un film très noir, très difficile, très dur, et qui fait mal aux gens qui ont compris, qui ont compris ce que ça veut dire ce que nous voulons dire et donc l'important c'est qu'il est beau, ce film, et qu'il marche mais ne parlons pas de ce titre que je n'aime pas, et qui n'a rien avoir avec l'histoire, d'ailleurs. […] J'ai fait de mon mieux mais, en tous cas, c'est un de mes plus beaux… C'est peut-être mon plus beau rôle."

(interview sur le tournage du Vieux Fusil par Première, 1975)

Annotation :

« J’ai saisi au vol l’occasion de lancer un cri d’alarme contre la brutalité des nazis qui conservent aujourd’hui encore droit de cité en Allemagne »

(?)

"J'aime tout ce qui est grave dans cette histoire. Ce qui est grave, c'est beau, c'est… oui, c'est une histoire d'amour désespérée probablement parce que c'est les plus belles"

(Interview sur le tournage du Mouton Enragé, 1973)

Annotation :

Interview pour le Trio en 1974, où on pouvait difficilement être plus clair sur sa préférence pour ce film : https://www.youtube.com/watch?v=zOp_uxbbAK8

autrement, elle en disait :
« Je suis une comédienne, nom de Dieu ! Les rôles dont je rêvais, on ne me les a pas donnés ! Laissez-moi interpréter ce qui me plaît ! »

(en réponse à la polémique concernant son rôle dans ce film)

« En général, j'aime les emplois plutôt horribles : Trio infernal , par exemple, où je ne retrouve pas mon image habituelle et où je ne devais pas être « gentille » »

(Interview de Paris Match, 8 mai 1981)

Annotation :

"Ce qui m’a plu, c’est que cette femme riche abandonne tout pour vivre sa passion jusqu’au bout"

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"Je ne suis pas une actrice de faire un film politique"

(Interview à Berlin par Michel Drucker sur le tournage de Portrait de groupe avec Dame, le 3 novembre 1976)

Annotation :

"C'est peut-être le rôle le plus loin de moi-même. […] Je n'aime pas en parler quand on est en train de faire ce travail. Si vous me demandez maintenant je dirais "oui, c'est le plus beau rôle que j'ai jamais joué" mais je dis ça chaque fois".

(interview pour le Petit Caroussel Illustré, 24 novembre 1970)

Annotation :

"Il y a des choses de Rosalie et dans Rosalie, qui me ressemblent"

(interview sur le tournage du film en 1972)

"Je ne suis pas Rosalie mais je serais ta Rosalie"

(ce qu'elle a dit à Sautet, en acceptant le rôle)

Annotation :

"-Romy : On a toujours peur. Je savais toujours que ça allait être un beau film, un très beau film, qu'il a reçu le Prix [Delluc] et que c'est un énorme succès. Que la première va être comme hier soir, que beaucoup de gens sont revenu hier qu'ils l'ont déjà vu deux ou trois fois. C'est merveilleux, c'est formidable. Bien sûr, on est toujours surpris. On est pas... Ce n'est pas… Comment on dit ? Je ne sais pas le mot en français. […] Pourquoi ça me touche profondément, pourquoi ce film m'a touché comme aucun autre, j'ai pas très envie de vous en parler parce que c'est très à moi et ça m'est un peu difficile. Je l'ai vu, je ne sais pas combien de fois 5 ou 6 fois et c'est de plus en plus fort, la réaction. Mais c'est pas seulement moi, il y a plein de gens qui ont réagit de la même façon mais chacun, je pense, réagit et pense pour lui-même quelque chose de très à soi-même. Je ne sais pas très bien expliqué ça. C'est difficile. Je ne…
-Chancel : C'est à dire qu'on a chacun ses propres réactions à ce film?
-Romy : Oui, pourvu qu'ils ont tous "

"Les Choses de la vie, c'est le plus grand film dans lequel je suis dedans."

(Interview par Jacques Chancel dans le Radioscopie du 13 mars 1970)

"On sait jamais rien d'avance, jamais. Mais c'est beau, je suis très heureuse que ça a eu ce succès qu'il a eu. Il le mérite ce film. J'ai beaucoup de tendresse, je ne sais pas si c'est le mot juste, mais j'ai beaucoup de… je suis très attachée à ce film."

(interview pour le Petit Caroussel Illustré, 24 novembre 1970)

Annotation :

"C'est un peu étrange le retour à Berlin. Beaucoup de peur, de trac, malgré l'envie de faire ce film, de jouer ce rôle. Enfin, je ne sais pas très bien expliquer ces choses là, vous savez. Après tant d'années que je vis en France, que je travaille surtout ICI et plus LA BAS, c'était étrange, ça m'a touchée et parfois j'avais aussi de sacrés coup de mal du pays de Paris. Enfin, passons, c'est un travail bien quand même. […] Je peux m'identifier avec [Leni] pour pas mal de choses […] elle prend tout d'elle-même, elle a une force de vivre, une force de aimer que finalement c'est cela qui la fait survivre dans cet horrible enfer de Berlin 45, pendant et après cette guerre horrible. Et c'est effectivement comme ça, c'est une personne qui parfois peut peut être paraître passive ou rêveuse mais elle a son petit monde, quelque chose de toute à fait profond et une sacré force de survivre, d'aimer et de croire dans...dans des choses positives, finalement, malgré tout, malgré tout ce qu'elle vit, malgré tout ce qu'elle a connu, malgré tout ce qu'elle perd, malgré toutes les déceptions, toute l'horreur qu'elle a connue, qu'on voit bien dans le film […] ça m'a beaucoup plu. Le film fait, ce qui m'a beaucoup plu aussi […] très dans le retenue [...] c'est l'Allemagne de Monsieur Böll que NOUS connaissons, NOUS les Français pas comme ça et c'est je pense la plus belle chose dans le film, film qui me touche beaucoup, qui est très profond et je pense un film pour le cinéma allemand très important. Mais je dois dire pour Aleksandar Petrovic, qui est yougoslave, il a rendu ce film… il est resté tellement fidèle au livre et ce film est tellement allemand. Un metteur en scène allemand n'aurait pas le faire plus allemand et plus fidèle, j'en suis convaincue."

(interview au Festival de Cannes 1977)

Annotation :

"A ce film, je dois beaucoup parce qu'avec ce film, ça a recommencé pour la 3e fois en France, toujours en France. C'est bien, c'est étrange, peut-être pas mais ça me touche beaucoup"

(Interview par J. Chancel dans le Radioscopie du 13 mars 1970)

Annotation :

Elle considère comme son plus grand film avec le Boccacio 70, Le Cardinal et Les Choses de la vie

(Interview par Chancel, dans le Radioscopie du 13 mars 1970)

Annotation :

A ma connaissance, elle en a seulement dit, un très elliptique mais très parlant : "Ce personnage, c'est pour moi!"


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Annotation :

Elle le compte elle-même parmi ses plus grands rôles avec le Boccacio 70, le Procès et Les Choses de la vie

(Interview par Chancel, dans le Radioscopie du 13 mars 1970)

Annotation :

Annotation :

" On ne peut pas toujours faire Les Choses de la vie, on peut pas toujours faire Max et les ferrailleurs, On ne peut pas toujours travaillé avec … On fait des concessions"

(interview dans le petit Caroussel Illustré du 24 novembre 1970)