Les meilleurs univers de jeux vidéo selon Mottainai

Annotation :

Nous avons les mythologies grecques, romaines et scandinaves pour l'Europe.
Nous avons les mythologies hindoue, chinoises et japonaises pour l'Asie.
Celles des aztecs, incas et égyptienne pour le reste du monde.

Les australiens, eux, ont imaginés les fables et légendes du monde des insectes, lui-même gouvernés par les lois d'êtres supérieurs, par des phénomènes défiant la nature, et par des héros singuliers avec des traits propres à leur espèce. Un grand potentiel.

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(+ son extension Iceborne)

Des chats, des wyvernes et vouivres aux designs absolument superbes. Un univers progressivement étendu, toujours plus attachant. Une ambiance parfois à la shonen fantasy, parfois un peu cartoon et très souvent épique (dans le vrai sens du terme). La méthodologie de la chasse rendent cet univers très crédible, malgré son lot d'incohérences.

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Suffit de jeter un œil sur la jaquette pour envisager le potentiel d'un tel monde numérique.

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Classique...


MAIS EFFICACE.

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Cette île dégage une telle vie par sa végétation luxuriante et ses nombreux habitants (il y a diverses tribus de Maskass, des boss uniques et un gros bestiaire selon les zones de l'île) que je ne peut que le classer qu'au-dessus des autres Mario 2D.

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Vous avez vu Alien? Tout joueur sait que Metroid doit beaucoup à la saga cultissime de R. Scott, mais cet épisode là embrasse son inspiration première plus fort que jamais. Car l'aventure se déroule dans les couloirs sombres, où jonchent les câbles sectionnés, un silence plus lourd qu'à l'église, des pas métalliques d'une tonne de la menace SA-X, une copie invincible de Samus. Metroid Fusion est le plus Alien des Metroid.

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Quand le passeport pour traverser le Royaume Champignon a trop été usé, Nintendo a décidé d'envoyer paître Mario et ses lemmings dans une nouvelle contrée. Les RPG des aventures du plombier ont pratiquement toujours lancés le joueur dans des pays, régions et autres bizarreries inattendues. Le dernier d'entre eux qui m'a fait presque croire à une nouvelle licence fut Mario & Luigi premier du nom, avec le Royaume de Végésia (Royaume des Pois). Hop, on prend un visa chez le Prince Florian, nouveau sidekick de Wonder, et on se rend au Royaume des Fleurs. Pays gouverné par l'étrange pouvoir des Fleurs Prodiges qui peuvent réécrire la réalité! Sa géographie veut tenter d'obtenir le label "Metroid" avec ses mondes interconnectés avec un hub central (les Îles Florales). Mais le côté "Metroid" s'arrête là. Les plaines verdoyantes, les forêts brumeuses, les monts recouverts de neiges et de vents violents, les plages abondantes en UV solaires, les cascades de mille millions de carats, les sables et pyramides pour les téméraires, des mines fongiques aux airs toxiques et un volcan qui se prend pour une jungle. Rien de nouveau? Mais le bestiaire et la nouvelle touche artistique de cette balade de santé sur Switch (car oui, le jeu est diablement facile) redonnent un coup de peps au monde trop archaïque de Mario.

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Inoubliable, point.

Annotation :

J'ai du mal sortir les mots juste pour décrire ces îlots, mais fadasse est le premier à se poser là. Ce n'est ni original, ni dingue, mais la nouveauté se trouve dans l'importation du modèle des Sonic 2D dans un monde ouvert. Voir des grinds, springs et câbles de transports tous les 5 mètres en l'air, c'est quelque chose. Mais il suffit de peu et quelques courses la tête en bas pour y trouve run gameplay vachement solide. Du coup, l'étrangeté des environs commencent à s'éteindre et on s'y fait. Un monde désertique et peu bavard dans ses origines au final.