2015 : une nouvelle année cinématographique (2)

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Je n'en garde pas un souvenir très précis, un film d'affrontement entre holligans, décrivant une certaine violence et désespérance à l'anglaise.

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Film assez fascinant, avec un Kevin Spacey aux petits oignons. Il faudrait que je le revois pour peut-être le noter à sa juste valeur mais très représentatif d'une middle class américaine dont le modèle arrive en fin de course. Portrait intéressant de l'Amérique des années 90.

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Et oui, honte à moi je n'avais pas vu le troisième volet de la célèbre saga. Chose faite. Finalement, cette trilogie est vraiment égale, de bout en bout, plutôt pas mal.

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Un film très étrange dont la particularité est de jouer sur les sens. Les humains les perdent, un-à-un, on assiste donc impuissant à une sorte de malédiction qui se traduit, pour le spectateur par la perte des sens à l'écran : le toucher, l'odorat, le gout et pire encore pour un film, le son et l'image. Troublant mais porté par un duo d'acteurs très classe.

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L'histoire de ce serial killer français est fascinante et assez ignoble, il faut bien l'avouer. J'ai regardé ce film par curiosité historique pour au final être impressionné par la performance de Michel Serrault, génial et monstrueux dans ce film.

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Un film moyen mais efficace. Besson sait faire des scènes actions comme peu réalisateurs français, mais il retombe dans des travers grossiers : scénario cousu de fil blanc, clichés et grosse machine à l'américaine... Mais ça passe.

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Magnifique comme toujours mais j'ai eu l'impression de revivre un autre des films de Miyazaki, l'univers science-fiction en moins. Mais, c'est beau.

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Un film léger, optimiste, positif, ça fait du bien. Une quête initiatique faite de rencontres burlesques et de moments tendres.

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Film extrêment riche, ambitieux, dense, on s'y perd. La forme est parfaite, le fond pêche un peu dans la simplicité des personnages et dans les clichés. Il n'en reste pas moins que le scénario et la trame du film valent vraiment le détour.

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J'avoue que j'ai été très déçu dès les premières minutes : scénario simpliste, jeu d'acteurs moyens, faux suspens. Un boulet que se traine la mythique saga Alien.

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Un véritable coup de coeur : rafraîchissant, drôle, tendre et émouvant, un film d'un point de vue des enfants, porté par un casting aux petits oignons. Une cure de jouvence comme on n'en voit plus.

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Manichéisme quand tu nous tiens. Ridley m'aura déjà déçu deux fois cette année. Sur un sujet intéressant le réalisateur nous livre un film à grand spectacle hollywoodien, agréable à regarder mais d'une platitude folle. Il est bien loin le temps de Mulholland Drive et même de Gladiator, film d'action superbe dans son genre, le péplum. Ici c'est un péplum raté.

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Qu'il est savoureux de voir Malkovich et Glenn Close dans le rôle du Vicomte de Valmont et de la Marquise de Merteuil, qui campent des aristocrates libertains et hypocrites, dans une fresque grandiose et dramatique. La malice du roman épistolaire ressort particulièrement bien.

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Un étrange Polanski qui n'échappe pas aux obsessions du réalisateur : l'étrange, le saugrenue dans un Paris baigné d'une lumière glauque et sombre. Le scénario est un peu bancal par moment. Davantage un film d'ambiance qu'un thriller psychologique. Harrison Ford est également excellent.

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Que c'est beau, cette tragédie toute italienne, entre beauté somptueuse et mort latente. Un film délibérément lent, dans un cadre magnifique, Venise. Une réflexion pointue sur l'art, sur la vie, sur la mort d'une puissance rare. Un classique, un chef-d'oeuvre absolu.

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Très moyen : grosse action, gros effets spéciaux mais décidément avec les Wachowski je n'accroche pas. Le film est un plaisir de geek, dans un univers dément et futuriste certes inventif mais finalement assez moche. Après, le divertissement est là mais mon Dieu que c'est plat.

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Second Wes Anderson de l'année et toujours aussi agréable : léger, léché, casting aux petits oignons, une part de fantaisie et de rêve vraiment salutaire. Ce genre de film qui remonte le moral. Le style est toujours là : lumière jaune, personnages hauts en couleurs, narration complexe, situations loufoques. Cure de jouvence.

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Un thriller qui se s'attarde pas tant sur l'horreur que sur la dimension tragique d'un fait divers qui secoua la France dans les années 90. Suivant l'affaire SK1, celle du célèbre Guy Georges, on découvre le portrait d'un homme dissimulé derrière un monstre ainsi que l'enjeu dramatique que constitue un procès : le deuil, les victimes, l'obsession de résoudre l'affaire, le droit. La scène finale, l'aveu de Guy Georges, est terrible et quelque part magnifiquement humaine.

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Vu avec Cinéexpérience #1, petite happy movie à l'américaine non sans cachet, porté par un Mark Ruffalo au sommet de sa forme. Derrière l'apparente insouciance du film, l'ambiance et le fond sont plutôt lourds : tabagisme, alcoolisme, dépression, pauvreté.

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Pastiche, parodie de James Bond et de tous les films d'espionnage dont le film multiplie clins d'oeil et références, le film est pourtant tout cousu de fil blanc, dans son intrigue et dans ses personnages. Mais voilà, quelques scènes jubilatoires et démentes (dans le bar et l'église) sont aussi drôles qu'archi-violentes, l'action est survoltée, les traits grossis à l'extrême, non sans un humour so british. Mention spéciale à Colin Firth, excellent et à Samuel L. Jackson agaçant mais drôle (+ son clin d'oeil au burger de Pulp Fiction).

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Bourrin et sans grand ménagement, le film ne vaut que par ses vues d'Istanbul et quelques scènes de Liam Neeson en vengeur badass et invincible...

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Le pari était risqué : si le parc retrouve des couleurs et donne envie de s'y rendre avec ses sauropodes géants et ses t-rex, le film est globalement cousu de fil blanc avec une fin ridicule et des effets gâchés par la surenchère. Reste alors la nostalgie de Jurassic Park.

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Gentil, mignon. Le film est si optimiste qu'il ne peut être foncièrement mauvais. Et puis il y a Scarlett, alors bon, on lui pardonne.

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Drôle et con, sans prise de tête et quand même vachement bien foutu pour un petit film.

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Agréable, bien produit mais au bord du clichesque, le drame fleuve à l'américaine qui manque de subtilité malgré Forest Whitaker impressionnant.

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A moins d'être un expert de la saga, on se perd vite dans le scénario tordu et torturé. Certes, les apparitions et les clins d'oeil sont sympas, Emilia Clarke est convaincante, mais c'est tout. Le film multiplie la surenchère et les effets pour pas grand chose et sonne despérément vide.

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Toujours un grand talent de l'art dramatique de Polanski qui signe un film de huis-clos, thème qui lui est cher. Le film est porté par un casting monstrueux mais sa portée reste moindre car il est intimiste, peu spectatulaire, trop théâtrale.

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Pas énomément de souvenir de ce film rétrospectivement, si ce n'est celui de Kathy Bates.

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N'est pas Dumas qui veut. Le casting est fabuleux, l'histoire est lyrique, emportée mais les Américains piétinnent quelque peu le mythe des trois mousquetaires en en faisant une caricature. Dommage le matériel d'origine est passionnant.

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Film assez drôle au concept original et irrévérencieux. Mais il reste vite oubliable.