Les meilleurs James Bond selon Docteur_Jivago

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Mission n°21 :

Daniel Craig -

Brillamment orchestré, Casino Royale est une réussite de bout en bout, proposant un retour aux sources passionnant et haletant, tout en tension et même teinté d'une certaine mélancolie et d'émotion plus profonde qu'en apparence, avec des personnages qui tiennent tête, tant à l'écran qu'en importance, à un James Bond froid et faillible.

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Mission n°2 :

Sean -

Bons Baisers de Russie permet à Terence Young d'imposer à nouveau sa vision de James Bond où l'espionnage est au centre du film, trouvant une parfaite alchimie avec différents tons et une tension présente de bout en bout, alors que Sean, excellemment accompagné ici, incarne à nouveau à la perfection ce personnage.

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Mission n°16 :

Timothy Dalton -

D'une redoutable efficacité, avec une tension de plus en plus forte et aussi haletant que passionnant, Licence to Kill nous fait suivre un Bond blessé qui part en croisade pour faire sa vendetta, bénéficiant de la maîtrise de John Glen et de personnages solides à ses côtés et face à lui pour faire de cette mission une réussite totale.

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Mission n°15 :

Timothy Dalton -

On retrouve un grand James Bond avec Timothy Dalton qui porte merveilleusement ce costume et Tuer n'est pas jouer, un vrai film d'espionnage bien écrit et construit, nous emmenant en pleine Guerre Froide pour un jeu de piste maîtrisé de bout en bout, sous haute tension et ne manquant ni de charme, ni de moments mémorables.

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Mission n°6 :

George Lazenby -

Portant le costume de Bond pour la première et dernière fois, George Lazenby se montre impeccable dans On Her Majesty's Secret Service, Peter Hunt signant l'un des films les plus mémorables de la saga, s'appuyant sur des personnages forts, une tension constante ainsi qu'une atmosphère, parfois teintée d'émotion, de romantisme et de mélancolie, prenante de bout en bout.

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Mission n°1 :

Sean -

Première mission qui permet de découvrir tout ce qui fait le mythe James Bond, incarné à merveille par Sean Connery qui devient instantanément ce personnage. Cette exotique aventure contre Dr. No permet à Terrence Young de proposer une oeuvre d'espionnage efficace et pleine de charme, avec une opposition qui ne manque pas de tension et une construction de récit simple et prenante.

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Mission n°23 :

Daniel Craig -

Plus rien ne va en terre Britannique et en signant Skyfall, Sam Mendes signe un épisode étoffé, sombre, méticuleux et sous tension, finalisant avec brio le virage pris par la saga depuis deux épisodes, se montrant implacable derrière la caméra et dirigeant à merveille les comédiens.

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Mission n°4 :

Sean -

Opération Tonnerre voit le retour de Terrence Young derrière la caméra, il amène son savoir--faire et propose une mission efficace et plaisante, structurant déjà ce que sera la saga dans les décennies qui suivront et sublime un Sean Connery toujours aussi charismatique, que ce soit sous l'eau ou dans les airs.

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Mission n°18 :

Pierce Brosnan -

Pierce Brosnan relève avec brio le défi de sa nouvelle mission et Demain ne meurt Jamais se révèle être un James Bond mémorable, avec une tension constante, de superbes séquences et des personnages parfaitement bien écris et mis en scène pour graviter autour de l'agent britannique.

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Mission n°3 :

Sean -

On peut facilement oublier les petites failles de Goldfinger pour apprécier une troisième mission bien construite, exotique et régulièrement palpitante, où Guy Hamilton pose plusieurs bases qui feront le mythe James Bond, pendant que Sean Connery continue de ne faire qu'un avec l'agent 007, offrant de nombreuses séquences mémorables.

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Mission n°24 :

Daniel Craig -

Malgré la lourde tâche de faire suite à Skyfall, Spectre se révèle réussi et orchestré avec brio par un Sam Mendes inspiré, sachant nous emmener, au côté d'un Daniel Craig royal, dans une longue aventure mêlant action, mélancolie, tension, mystère ou encore politique.

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Mission n°20 :

Pierce Brosnan -

Les quarante ans de la saga permettent à Bond de s'investir dans une mission particulière à l'équilibre fragile, mais qui fonctionne, avec une surenchère se mêlant bien à la mise en scène, une tension permanente, des rôles féminins très bons ou encore un Brosnan encore au top pour cette dernière.

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Mission n°22 :

Daniel Craig -

Si Quantum of Solace n'atteint jamais la force de son prédécesseur, elle n'en reste pas moins une mission plutôt réussie, assez agréable à suivre avec une tension présente dans les moments importants, un rythme maîtrisé et des personnages intéressants, bénéficiant de comédiens largement à la hauteur.

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Mission n°17 :

Pierce Brosnan -

Nous emmenant entre la Russie, l’Angleterre ou encore Cuba, Martin Campbell propose une intéressante entrée dans les années 1990 pour James Bond, et malgré ses quelques failles, GoldenEye se révèle assez sympathique à suivre, avec un Brosnan à son aise dans le costume de l'agent britannique et ici très bien entouré.

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Mission n°5 :

Sean -

En signant You Only Live Twice, Lewis Gilbert place James Bond au cœur du pays du Soleil Levant et propose une oeuvre qui aurait méritée plus de sérieux dans son traitement, ne parvenant pas à éviter de nombreux pièges, mais qui demeure plutôt efficace et agréable à suivre, avec un Sean, particulièrement velu et charismatique, qui ne reviendra officiellement plus qu'une fois pour le rôle de l'agent 007.

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Mission n°14 :

Roger Moore -

Finalement Roger Moore quitte James Bond en beauté avec Dangereusement Vôtre, une mission aussi improbable que réussie, lorgnant les frontières du n'importe quoi pour finalement laisser une empreinte efficace, parfois tendue et sympathique, grâce notamment à son duo d'antagoniste.

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Mission n°10 :

Roger Moore -

Il aura fallu attendre la troisième mission de Roger Moore pour voir celui-ci bénéficier d'un script et d'une réalisation à la hauteur et L'Espion qui m'aimait surmonte en partie ses failles pour finalement être le meilleur Bond de cette période, plutôt efficace, exotique et parfois palpitant, montrant aussi des signes d'un apaisement entre les deux blocs qui dominent alors le monde.

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Mission n°19 :

Pierce Brosnan -

Sans forcément marquer les esprits Le monde ne suffit pas fait oublier ses défauts et se concentre sur une très bonne et intéressante opposition entre Brosnan et Marceau, ainsi qu'un côté spectaculaire maîtrisé, rendant la mission assez efficace et sympathique à suivre.

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Hors-Série n°3 :

Sean -

Jamais plus Jamais propose une relecture intéressante d'Opération Tonnerre, avec un le retour d'un Sean Connery vieillissant mais toujours charismatique et sachant jouer avec cet aspect, alors qu'il est assez bien entouré avec des personnages intéressants, de quoi faire oublier les quelques failles.

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Mission n°7 :

Sean -

Si Les Diamants sont éternels n'est pas spécialement une mission mémorable pour James Bond, n'offrant pas la meilleure de sortie officielle à Sean Connery, il n'en reste pas moins plutôt sympathique, avec un savoir-faire derrière et devant la caméra rattrapant les quelques failles d'écriture, celles-ci annonçant le virage qui sera pris par la saga lors des années Roger Moore.

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Mission n°13 :

Roger Moore -

Loin d'être parfait, Octopussy relève un peu le niveau de la saga et reste un opus un minimum sympathique, permettant à Roger Moore d'être un peu plus à son aise au cœur de ce pastiche de l'Inde, et l'ensemble peut se révéler agréable à suivre, assez efficace par moment avec notamment des méchants qui rehaussent le niveau des précédents Bond.

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Hors-Série n°2 :

David Niven (entre autre) -

Le charme, kitsch, érotisme et psychédélique des années 1960 ne suffisent pas à rendre Casino Royale, James Bond officieux, convaincant et savoureux, la faute à une bouffonnerie rarement drôle, un rythme mal géré et une cohérence totalement mise de côté et qui n'est pas rattrapé par l'atmosphère ou le casting royal.

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Mission n°8 :

Roger Moore -

Avec Roger Moore guère à l'aise pour une première, une réalisation manquant de tension, un Bond assez exaspérant ou encore une écriture indigne, tant au niveau des dialogues que des personnages, Vivre et Laisser Mourir n'a pas grand chose pour lui, et fait seulement vaguement illusion grâce à sa musique et son cadre plutôt intriguant.

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Mission n°12 :

Roger Moore -

Encore une fois, un James Bond de Roger Moore est décevant, et s'il n'est pas à son aise, il n'est pas aidé, Rien que pour vos Yeux, en plus d'être parfois ridicule, manque de tout, que ce soit de tension, de rythme, d'intérêt, de passion, de scénariste et bien d'autres choses.

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Hors-Série n°1 :

Barry Nelson -

Première apparitions de James Bond devant la caméra, mais aussi première exception en dehors des 24 productions connues d'EON, Casino Royale ne convainc jamais vraiment, s'éloignant trop de l'essence de l'agent 007 sans non plus apporter des aspects intéressants et son intérêt demeure limité et principalement historique.

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Mission n°25 :

Daniel Craig -

Pffff
Tout ça pour ça.
Certes, ce n'est pas la première fois que la franchise Bond tombe plus bas que terre, mais bon en général, c'était des films sans grandes ambitions, mais là, il y a comme l'impression que les auteurs ont voulu faire le Bond ultime, celui qui dépasse les codes et osent plusieurs choses pour la première fois.
Au final, on ne retient que ça, et les auteurs se sont contentés de ça, juste de faire "du neuf", mais sans fond, sans un metteur en scène qui va apporter sa touche et sublimer tout cela, sans grandeur, ni démesure, là où ça aurait été nécessaire.

Il y a aussi le soucis que les Bond version Craig sont un peu vu comme des suites, mais il n'y avait pas de plan général, à chaque nouveau film, ils découvrent ce qui avait été fait avant. Du coup, il fallait caser beaucoup de monde (Blofield, Swann etc) et introduire de nouveaux personnages qui vont toujours plus loin que leurs prédecesseurs, mais sans jamais nous faire ressentir cette démesure pour ce qui est des antagonistes, et qui ne sont que des fonctions pour ce qui est des alliés.

Et mention pour la fin, particulièrement pompeuse.

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Mission n°9 :

Roger Moore -

Enfin, on pourrait passer beaucoup de temps à tirer sur cette triste ambulance mais cette saga ne le mérite pas. C'est ridicule, sans tension et parfois même grotesque, Roger Moore, certes guère à son aise, n'est pas aidé par tout ce qui l'entoure, tant l'écriture que la direction prise par la saga.

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Mission n°11 :

Roger Moore -

Le néant. Cet opus est juste nul, on dirait une mauvaise parodie de James Bond et Roger Moore continue de ne pas être à son aise dans ce rôle, et on en viendrait presque à le plaindre tant il n'est pas aidé, que ce soit par les producteurs, scénaristes ou réalisateurs, qui font vraiment toucher le fond à James Bond.