Mes scènes préférées

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La scène finale, à Angkor, magnifique, et bouleversante, lorsque cet homme vient confier et enterrer le secret de son amour, selon une vieille tradition dans un trou dans le mur recouvert ensuite de terre, sous le regard d'un jeune bonze curieux et sur une musique somptueuse.

https://www.youtube.com/watch?v=ZgO_sCXrK4s

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La scène du train, d'une fabuleuse poésie, où Chihiro, le regard perdu sur ce paysage fantastique où toute terre semble être noyée sous le déluge ne laissant apparaitre que quelques collines, arbres, maisons et passants devenus fantômes, semble gagner en maturité. Et cette musique.... J'en pleurerai toujours, je crois.

https://www.youtube.com/watch?v=VbRmFSQYeac

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La scène où Robert De Niro, ex trafiquant d'esclaves et brute sans pitié s'effondre en larme, à la merci des indiens qu'il a exploité et qui lui pardonnent, expiant ainsi tous ses crimes passés, enfin en paix avec lui-même. Mais quel acteur !

https://www.youtube.com/watch?v=wzhhFRqjF_o

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Cette scène où la femme de Mozart apporte des partitions à Salieri pour qu'il examine son travail et intercède en sa faveur et la stupeur de Salieri qui découvre à toute allure les partitions, embrassant d'un regard et d'une oreille avec le spectateur toute les émotions de cette musique que seul lui semble comprendre. Une leçon ! (également valable pour la scène finale avec le Confutatis)

https://www.youtube.com/watch?v=vNaXQQbcgw0

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Cette scène effroyable où un séisme ravage Tokyo, une Tokyo pauvre, en feu et des gens qui accourent dans tous les sens, qui pleurent, avec une utilisation ténue du son et de la musique. Miyazaki ne se concentre que sur l'image, la couleur et l'animation et de ce silence produit une sensation d'épouvante. Un dessin-animé terrible mais sublime...

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De nombreuses scènes mémorables dans ce film : j'ai énormément apprécié les scènes où Scarlett Johansson attirent des hommes dans un liquide noir et épais où ils se noient ainsi que les scènes de nuit. Mais la scène la plus incompréhensible et la plus forte reste celle où cette extra-terrestre qu'incarne Scarlett Johansson regarde un couple se noyer tandis que leur bébé pleure sur la plage et voit la mer s'approcher inexorablement. Elle ne fait rien. C'est tellement scandaleux et fort et pourtant compréhensible quand on regarde la suite du film que la scène marque.

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Je ne répéterais jamais assez l'amour que j'ai pour ce film. La scène la plus forte est évidement la découverte finale, où le narrateur perce un terrible secret et aussi la persistance de son sentiment amoureux, se décidant alors, par la suite, après avoir regardé cet effroyable destin, de se déclarer à la femme qu'il aime depuis trente ans. Il faut voir le film pour comprendre le parallèle puissant qui s'opère entre l'histoire d'amour des deux héros de l'histoire et l'affaire de meurtre, d'apparence sordide mais bouleversante.

Une autre scène est celle où l'adjoint du narrateur, Sandoval, décide de se sacrifier pour garder son ami en vie, en loser magnifique, alcoolique et dépressif, subitement redevenu un homme digne.

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Une des meilleures scènes d'introduction selon moi : tout est dit, sur cette époque terrible, cette guerre de sécession effroyable, ces paysages à couper le souffle, et cette musique. Le héros, officier des Nordistes, décide, alors qu'il est blessé très gravement de se suicider, fonçant à cheval, sur les troupes ennemis. Il en réchappera, donnant l'occasion à ses troupes de remporter la bataille. Héros, il décide de partir très loin, dans sa quête dépressive, dans l'immensité de l'Amérique. Magnifique et tragique.

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La scène de bataille est encore une fois ici déterminante dans le film et terrible. Outre l'humour et les répliques cultes, c'est dans cette scène que le le chef-d'œuvre de Sergio Leone bascule, dans un affrontement absurde, cruel et sanguinaire.

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La scène finale bien entendu avec le monologue de Rutger Hauer, incroyable. La scène d'amour est également très belle.

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Le plan séquence final vertigineux sous une musique religieuse somptueuse et lumineuse. Un niveau de virtuosité rarement égalé.

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Contexte : premiere guerre mondiale

La scène où Vera Brittain découvre les vêtements d'officier de son fiancé défunt. Fouillant frénétiquement la moindre de ses poches elle y découvre une ultime lettre perdue qui lui avait adressé et c'est toute la violence de leur séparation définitive qui se met alors à lui dégouliner du visage. La scène doit beaucoup au jeu de Alicia Vikander et à la musique de Richter.

Autre scène : la scène où Vera soigne des blessés allemands et anglais et finit par retrouver son frère au milieu de tous ces demi-morts.

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Quand Jep fait découvrir à sa copine les secrets des palais romains à l'aide d'un guide qui en possède toutes les clés, de nuit. Ils y croisent des vieilles contesses qui jouent aux cartes, des statues et des vues imprenables sur Rome.

Autre scène : lorsque Jep dans un monologue puissant déboulonne une des amies bourgeoises et prétentieuses, la ramenant à sa médiocre place.

Autre scène : Jep, au petit matin, au bord du Tibre, écoutant la nature et se rappelant qu'il était autrefois le roi de la mondanité. C'est beau.

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La scène d'ouverture, sur une musique de Philip Glass, terrible. Et la scène qui lui fait écho avec Meryl Streep et son ami malade qui se jette par la fenêtre. Glaçant.

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Les scènes d'ouverture et de clôture, avec le double duel, cette dimension de hasard due aux pistolets qui fonctionnent mal et cette symétrie inversée.

La bataille, réaliste et donc absurde.

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La scène finale bien entendue où le personnage principal meurt ébloui par la beauté de l'enfant qu'il contemple sur la plage, le maquillage sous ses yeux dégoulinant sur son visage blanc, linceul de chair d'une statue de marbre et le tout sous la musique somptueuse de Gustav Malher. Un sommet de symbolisme.

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La scène de la tête de cheval. Pas besoin d'un dessin.

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La scène de la fabrique des souvenirs où Rian Gosling perd totalement pied.

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La scène de rencontre avec Amma, la quête du film. Une scène qui a été tournée de plus en condition réelle, sans trucage, sans même mise en scène, et qui dégage une vraie sincérité.

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La scène de twist final : "Autant que je m'en souvienne, toute ma vie j'ai eu les yeux rivés vers les étoiles. Mais tu sais ce qui m'a surpris le plus ? Ce n'est pas de les avoir rencontré eux, c'est de t'avoir rencontré toi."

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Lorsque Daniel Auteuil se coud sur le coeur un des ruban de Manon, malade d'un amour impossible.

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Les scènes d'internement de la tante du héros. Absolument terrifiantes : d'abord cet enlèvement par les ambulanciers qui l'enferment dans un camion, puis cette stérilisation puis les chambre à gaz. Eprouvant.

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Le double twist ironique finale : cela commence par ce plan séquence qui vire au massacre dans le jardin, qui se finit dans une cave, puis par une terrifiante ironie.

La scène où la famille pauvre se retrouve à dévaler les collines de Séoul sous la pluie pour rentrer dans son appartement en sous sol. Métaphore superbe de leur misérable existence face au luxe de leur employeur.

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La scène d'introduction est l'une des plus fabuleuses du cinéma : Sergio Leone qui commence par filmer une mouche sur un visage, puis un duel avec "Harmonica" entré dans la légende.

Toutes les scènes avec Claudia Cardinale illuminent ce film assez sombre.

Une autre scène, très touchante, concerne le riche méchant du long métrage qui en fait vient de l'océan et regardant un tableau de mer se retrouve plongé dans ses souvenirs. C'est une scène simple mais une respiration pleine d'humanité au milieu du film.

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A ce niveau ce n'est même plus une scène mais une partie entière de film ; tout ce qui se passe dans le bal final est d'une beauté et d'une subtilité rare. Les réflexions sur l'art, la vie, la mort, l'amour sont toutes plus belles les unes que les autres, sans oublier le cynisme de Visconti, parfois cruel.

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L'introduction en ombre chinoise, ultra stylisée est un modèle du genre.

La scène d'amour entre Dracula et Mina dans l'asile de fou est élégante, érotique et forte émotionnellement.

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Une scène très touchante : l'arrivée triomphante des navires civils britanniques qui redonnent l'espoir à toutes les troupes. Très beau rôle de Kenneth Branagh en amiral optimiste et insubmersible, avec une reprise magnifique de la musique d'Elgar, l'hymne officieux du R-U.

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L'introduction me donnera éternellement des frissons, cet énorme vaisseau qui poursuit une minuscule corvette sous une musique épique. Je crois que je ne suis pas le seul à aimer. Si, si, je vous vois !

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La scène sur la genèse du monde : c'est un film dans le film, une expérience à part entière.

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La scène d'introduction et celle de conclusion offrent un miroir inversé particulièrement intéressant : le roi commence par baiser les pieds de ses sujets et à la fin, on lui coupe la tête. Il passe de la magnificence à la déchéance, je trouve ça très fort.