Un parcours PS3

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Les WipEout m'ont toujours fait baver, véhicules volants futuristes oblige, mais, étrangement, je n'en n'avais jamais acheté un seul. Il était temps de réparer cette grave injustice !

(Pour jouer occasionnellement: je n'ai jamais compté le finir à 100%).

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Premier GTA que je parviens à terminer. La cause à une narration et à des gunfights mieux maitrisées que dans les opus précédents. Cependant, les missions sont toujours aussi dirigistes et détonnent avec le monde ouvert proposé. Reste que c'est mon premier choc "new-gen" et que ça compte...

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L'une des rares sagas bourrines qui m'a vraiment éclaté. Cette conclusion est dans la continuité logique de l'ensemble en atteignant des paroxysmes de violence. On frôle la bêtise à certains moments, mais il y a de vraies prises de conscience de la vanité de tout ce foutoir qui font que je pardonne tout. Vraiment la fin qu'il fallait avant que ne s'installe la lassitude. Les prochains épisodes, ce sera sans moi...

(Fini 2 fois: normal et hard)

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Mon premier coup de fraicheur new-gen. Je reste fan à tout jamais du concept, jamais vu auparavant. L'un des jeux les plus immersifs auxquels j'ai jamais joué, grâce à une excellente retranscription des sensations (body awareness). A se demander pourquoi cette immersion n'est pas devenue un standard dans les vues FPS.

(Fini 2 fois)

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Gameplay et technique poussifs mais une narration interactive qui renvoie tous les précédents essais du genre à l'âge de pierre. Pour une fois, faites VRAIMENT ce que vous voulez...

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Ma première déception sur cette génération. Je m'attendais à un vrai jeu d'action-aventure et je tombe sur un TPS mou du genou et ultra-répétitif. Heureusement qu'en se forçant, on peut tout de même y trouver un peu de plaisir et que les dernières heures de jeu relèvent le niveau...

(Fini 2 fois)

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Un John Woo de la période HK en jeu vidéo ? Ca ne s'appelle plus un jeu, ma bonne dame, mais un fantasme de cinéphile ! Dommage que le scénario soit si con, car les sensations sont bien là, avec les meilleures gunfights depuis Max Payne.

(Fini 1 fois mais sélection de chapitres de temps en temps.)

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Incroyable toutes les questions que la presse et les joueurs se posaient à l'époque pour savoir ce que ce jeu serait au juste. Moi je disais "Un Fahrenheit amélioré"... et c'est bien ce qu'on a eu. A croire que tout le monde, y compris Cage, avait oublié Fahrenheit. Heureusement, j'aime bien la formule de ce jeu PS2, ici poussée dans ses derniers retranchements. Mais il est temps d'innover à présent...

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Corrige bon nombre de défauts du premier opus sans pour autant être la tuerie que tout le monde prétend. Ca reste très dirigiste et parfois ennuyeux, mais plusieurs séquences impressionnantes valent largement le détour. Et pour une fois, je ne suis pas insensible aux sublimes graphismes. Overdose de gunfights vers la fin quand même...

(Fini 2 fois)

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Mon jeu préféré de cette gen ! Combiner un monde ouvert avec de véritables embranchements scénaristiques dépendants de nos choix est un pari culotté et brillamment réussi ! L'univers décrit, les dialogues, l'ambiance, l'immersion... tous ces éléments sont au top pour un véritable jeu-univers qui vous emporte très loin. Seules la patte artistique faiblarde et la technique à la ramasse ternissent un peu l'expérience...

(Fini 2 fois en Normal, avec et sans mode Hardcore)

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J'avais loupé REZ et j'espérais le retrouver dans cette suite spirituelle. Pas franchement la cas, notamment à cause d'un univers visuel et musical qui me parle moins que celui de REZ. Reste une expérience originale qui est tout de même à saluer...

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BioShock initia la tendance de cette gen à proposer des jeux au background et à l'ambiance énormes mais au gameplay et au déroulement affreusement répétitifs. J'en ai rien à cirer d'écouter des enregistrements audio à tout bout de champ, je veux qu'il se passe quelque chose d'intéressant au moment PRESENT ! Davantage une réussite artistique que ludique... mais au moins, on en prend plein les yeux avec une cité sous-marine délicieusement glauque et un retournement de situation ambitieux vers la fin du jeu...

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Un jeu défouloir dans l'univers de mon super-héros préféré ? Je signe de suite, surtout avec un gameplay aussi jouissif et un tel amour du personnage...

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Pas facile de donner une suite à un jeu mythique comme "Deus Ex". L'équipe d'Eidos a été si respectueuse qu'elle s'est condamnée à rester juste derrière le mythe en refusant toute éventuelle innovation ou amélioration. On a donc pratiquement un remake de l'original, mais un remake tout de même réussi et drôlement intelligent. Je surkiffe l'ambiance cyberpunk et le scénario qui, sans s'élever aux strates de son ainé, pose d'intéressantes questions d'éthique sur l'humanité actuelle...

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Un jeu d'enquête comme il en existe peu, basé sur une immersion grandiose dans le L.A. des vieux polars. L'ambiance, la musique, le scénario forment un tout cohérent, toutefois fêlé par des ajouts commerciaux vraiment mal vus (monde ouvert vide, gunfights et courses-poursuites lourdingues,...).

Pour une fois, l'innovation technologique est au service du gameplay avec des visages particulièrement expressifs indispensables aux séquences d'interrogatoires.

Annotation :

Un bon gros pétard mouillé. Le jeu ne se hisse péniblement au-dessus de la moyenne que grâce à des énigmes plus intelligentes que 90% de la production actuelle. Le reste, gameplay, scénar, univers, respire le 100 fois joué, 100 fois vu.

Annotation :

Le jeu bluffe en nous faisant croire qu'on contrôle en partie le scénario. La vérité, c'est que c'est le scénario qui nous contrôle totalement, y compris au niveau émotionnel. Tout se joue donc dans une multitude de petits moments-clés qui fonctionnent parfaitement pour vampiriser toute notre implication. Bien joué, d'autant plus que l'univers de Walking Dead, dont je suis un fan de la première heure, est totalement respecté et maitrisé par les développeurs...

Annotation :

Un petit jeu aussi amusant qu'anodin qui propose une expérience différente pendant 1 heure ou 2.

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Un jeu qui parle à l'amoureux de la nature en moi. Une bouffée d'air frais dans nos habitudes de gamers.

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Une expérience aussi simple que fascinante. Le seul mutijoueur en ligne qui vaut le coup à mes yeux. L'autre joueur devient un mystère à élucider, prisonnier comme nous de son langage symbolique.

(Fini 5 fois)

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Un soft qui mise tout sur le fond pour justifier la banalité de sa forme. C'est ainsi qu'un pur TPS militaire peut devenir un voyage vers la folie. L'idée des développeurs aurait clairement mérité plus de moyens pour véritablement délivrer tout son message. En l'état, l'aventure est tout de même à tenter, et il faut saluer les studios qui essayent de sortir des sentiers battus.

(Fini 2 fois :normal et easy).

Annotation :

Meilleur scénario de cette gen, à condition d'apprécier le mélange entre le grotesque et le tragique. La technique est, hélas, d'un autre âge, et le jeu est tellement laid qu'il faudra un moment pour s'y habituer, même si l'on est pas un fanatique des graphismes hauts de gamme.

L'enquête, atrocement dirigiste, ne délivre tout son intérêt que si on s'implique dans tous les à-côtés qui approfondissent l'expérience. Bref, un jeu malade... et donc forcément intéressant !

(director's cut)

Annotation :

Meilleur gameplay de TPS de cette gen, cependant alourdi par une narration omniprésente. Difficile de faire dix pas sans se manger une cinématique souvent inutile du genre "Max ouvre une porte". L'histoire, même si elle est loin d'être dégueulasse, est bien trop dépendante des codes Rockstar pour surprendre qui que ce soit. Heureusement, les réflexions désabusées de Max apportent beaucoup de sel à l'univers proposé.

Annotation :

Un jeu tellement banal que j'ai du mal à ne pas l'oublier. Grand-spectacle super assisté avec un scénario débile et des séquences de tir presque non-stop. Bref, des jeux comme on en a fait des centaines sur cette gen. Mais c'est plutôt joli et ça met facilement le cerveau en pause...

(Prêté)

Annotation :

Un début enthousiasmant qui tourne vite au cauchemar tellement l'ensemble manque d'idées et tourne à vide. J'avais jamais touché à un truc aussi répétitif de toute ma vie. C'est pourtant cette formule bancale, quoi qu'améliorée (heureusement) qui sera exploitée jusqu'à plus soif par Ubisoft... A noter, l'ambiance énorme qui parvient à sauver le tout du désastre total.

(Prêté)

Annotation :

Monde ouvert très joli et très creux au scénario un peu con, j'ai l'impression de me répéter (pas les développeurs, apparemment). Bref, l'anti-Fallout: New Vegas, qui lui est juste 1000 fois supérieur. A ne jouer que si vous aimez tapertapertapertapertapertaper des ennemis génériques incapables de dialoguer (ce qui fait mal dans un jeu de rôles). Cependant, l'univers à explorer et la richesse démentielle du background sauvent largement le jeu de la nullité.

(Prêté)

Annotation :

Après tous ces gros jeux aussi lisses que bas du front, je vous raconte pas comme ça fait du bien de tomber sur un jeu moins beau mais rempli de petites subtilités, aussi bien au niveau du gameplay que du scénario ! Assez aride au début, ce jeu ne se dévoile qu'à ceux qui seront prêts à vraiment s'y investir... Dommage que quelques défauts rédhibitoires empêchent le joueur d'avoir envie de débloquer toutes les fins (21 disponibles) !

(Fini 2 fois)

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Uncharted devient enfin ce qu'il a toujours voulu être: une gigantesque simulation de blockbuster hollywoodien. La contrepartie du fun apporté, c'est que le joueur touche de moins en moins la manette et peut tranquillement faire la sieste à certains passages...

La formule s'essouffle et connait de gros problèmes de rythme et de répétitivité... A moins d'un changement significatif de gameplay, le prochain opus, ce sera sans moi.

Annotation :

Très bonne ambiance de fin du XIXème siècle et le personnage de Holmes présenté sans les stéréotypes habituels, juste remarquablement original comme dans les écrits de Doyle. Par contre, le déroulement des enquêtes est bien trop dirigiste, on sent un peu trop l'orientation grand public du titre. Heureusement les finals sont souvent intéressants avec des choix moraux parfois bien prises de tête à effectuer...

Annotation :

Je reste dubitatif. Les deux premiers actes m'ont vraiment plu. Tant au niveau du scénario que du gameplay, grandiose. Mais le reste... De plus en plus tiré par les cheveux, des révélations honteuses, trop de cinématiques grotesques, du fan-service jusqu'à la nausée... Malgré tout, en parallèle, une volonté d'expérimentation constante que je ne peux qu'approuver à cette époque de conformisme et diktats commerciaux. Et la toute fin sonne étrangement juste par sa simplicité.